CFE-CGC groupe Orange

Laurence Dalboussière : " Agissons pour nos actions ! "

Par : CFE-CGC Orange | Durée : 4min 19sec | Postée : 25/01/2020 | Chaîne : Les vidéos CFE-CGC Orange
Laurence Dalboussière est candidate de la CFE-CGC pour le siège de représentant des salariés actionnaires au Conseil d'Administration d'Orange. Riche d'un parcours professionnel et syndical engagé, Laurence connaît les réalités humaines de l'entreprise.
Elle explique : "J'ai participé à la mise en place des premiers Comités d'Etablissements (CE) en 2005 à France Télécom, et j'ai été secrétaire de CE de 2009 à 2011, en pleine crise sociale."
Qui vote au scrutin de cette élection ? "Les salariés et fonctionnaires en activité, qui détiennent des parts du fonds Actions Orange, ou du fonds Actions Internationales, ou détenteurs au nominatif d'actions Orange."
Interrogée sur les raisons de voter CFE-CGC Orange à cette élection, Laurence Dalboussière répond : " Notre force, c'est la cohérence de notre projet, notre vision stratégique de l'entreprise." Elle ajoute : " Au delà de la finance, le plus important c'est le personnel d'Orange, sa véritable richesse."
A la défense de la performance sociale de l'entreprise, Laurence ajoute une préoccupation majeure de la CFE-CGC Orange, la préoccupation de la Responsabilité Sociétale de l'Entreprise. "Nous voulons qu'Orange, en tant qu'acteur de la transformation numérique, nous permette de garder la planète le plus longtemps possible en bon état."
Arguant du soutien de l'Association de Défense de l'Epargne et de l'Actionnariat Salarié (ADEAS) et d'Orange Ensemble, Laurence Dalboussière explique les raisons de renforcer l'actionnariat salarié d'Orange : " pour le salarié, ou le fonctionnaire, actionnaire de l'entreprise, ce qui compte, c'est de conserver son emploi le plus longtemps possible dans de bonnes conditions. Ca stabilise la stratégie de l'entreprise, et ça écarte les fonds de pension qui ont une vision souvent court-termiste, surtout les fonds de pension américains." Elle conclut sur le fait que la stabilité obtenue est "bénéfique pour les salariés, bénéfique pour l'entreprise, bénéfique pour tout le monde."